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Bonjour,
Toutes les lettres entre Kerry et Kevin (de Jr et malu) vont être effacées de ce topic et reporter dans les épisodes virtuels.
C'est une fiction libre donc si vous avez de l'inspiration n'hésitez pas à y participer ^^
Cordialement,
Soleine
... gage, qu'est ce qu'il faut pas faire !
Si l'étoile qui brille
A la fois chez toi et chez moi,
Brille si fort
Il y a forcément
Une raison !
J'ai toujours adoré ce poème d'Antoine Pol, chanté par Brassens (et Cabrel), il est au masculin mais beaucoup de femmes ont du éprouver ça aussi : l'instant de quelques secondes, où peut être...
Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connait à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais
A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui
A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main
A la fine et souple valseuse
Qui vous sembla triste et nerveuse
Par une nuit de carnaval
Qui voulu rester inconnue
Et qui n'est jamais revenue
Tournoyer dans un autre bal
A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant
Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin
Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux cœurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus
Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lêvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir
Un poème matinal que j'aime beaucoup..
SURVIVRE AU NAUFRAGE
Transformer l'engagement ... sans y croire
Chercher la sécurité pour soi, pour son entourage.
Manipuler le pouvoir pour soi ... pour l'argent
Au prix de la distance ... coquilles de noix.
Et si l'engagement commence en soi !
Prendre une direction ... celle de l'influence de soi,
Malgré vents et marées ... choisir de s'engager,
S'engager et y croire, chercher et trouver la sécurité en soi,
Pour le sens, pour le pouvoir d'influence.
Sauvé du naufrage.
Il était une tempête,
Il était un phare,
Il était un gardien du phare.
Voir le phare dans la tempête !
Il est un grand navire qui maintenant navigue
"Nicole Sauvé".
- mourir c'est manquer de savoir vivre !
- à quoi bon dormir, faut se reveiller ensuite !
- le sexe à pile c'est bien mais quand les piles lâchent on fait quoi ??
- Eve c'était la pomme-pomme girl d'Adam ?
- moi dans "sexagenaire" j'ai surtout retenu sexe ! (guy bedos)
- cette fille qui dort nue avec un serpent, serait-ce la belle au boa dormant ?
- si les c*** volaient finis les coups de soleil !
- mieux vaut avoir pignon sur rue que l'opinion des autres !
- au milieu de la route gisait une carte mi-chemin !
- le mouton à sa brebis : sois "bèle" et tète-toi!
- le père à son fils nain: tu seras un gnôme, mon fils !
- je prefere m'occuper de ton matelas que de tes maths là!
et come c'est de pire en pire, finissons avec devos:
se coucher tard : nuit !
Perdue dans mes pensées
Celles des jours d'été, tant de chaleur emportée.
D'ici, j'entends le bruit des vagues qui se meurent
un déversement incessant, traces éphémères de leur passage
une rencontre terre,mer
la maitresse ou l'amant de ce partage
si belle union de ces éléments enlacés
Jeux d'amours de la nature, sages plaisirs.
Par son flux et reflux je m'imagine
les gestes éternels du simple plaisir
La vague revient irrésistiblement de sa force pénétrante
vague caressante sur ce sable humidifié,
le jeu de l'amour, regit par les marées
Non, je ne me suis pas perdue,
Tendres pensées,celles dont je veux partager,
Ce murmure d'un amour chuchoté..
Malu
Françoise Hardy :
Voilà, je regarde les autres
Pourtant, je ne leur trouve rien
C'est comme ça
Voilà, je vais avec les autres
Le temps passe plus mal que bien
C'est comme ça
Et toi, que fais-tu, es-tu content de tout ?
Je suis là, devant toi, toujours la même
Oh ! Pourquoi est-ce encore toi que j'aime
Que j'aime, que j'aime, que j'aime ?
Tu es là, devant moi, toujours le même
Oh ! Pourquoi ne puis-je pas te dire
«Je t'aime, je t'aime, je t'aime» ?
Voilà, je m'en retourne aux autres
Qui m'aiment et que je n'aime pas
C'est comme ça
Et toi, va retrouver cette autre
Tu l'aimes ou c'est ce que tu crois
C'est comme ça
Voilà, on n'a rien, rien de plus à se dire
Je suis là, devant toi, toujours la même
Tu le vois, c'est encore toi que j'aime
Que j'aime, que j'aime, que j'aime
Tu t'en vas et plus rien ne vaut la peine
Oh ! Pourquoi ne puis-je pas crier :
«Je t'aime, je t'aime, je t'aime» ?
"Etre libre comme l'air" dit une expression. Mais l'air n'est pas libre : contenue dans l'atmosphère. Et l'atmoshère fait partie de la Terre. Et la Terre est dans le sistème solaire qui est dans une galaxie... Et au-delà de la galaxie ? L'infini... L'infini, c'est comme nos pensées, on est donc emprisonné dans nos pensées.
Tout cela n'est peut-être pas vrai, mais ce n'est pas faux, alors, même si on se croit libre, on ne l'est pas totalement.
TimMcGee
une vieille mais belle chanso,
Je pense à toi
by Jean-François Michaël
Je m'éveille, je pense à toi
Il fait soleil, je pense à toi
On me téléphone, je parle, je pense à toi
Avec elle, je pense à toi
Quelle heure ce soir, je pense à toi
Où allons-nous me dit-elle, je pense à toi
{Refrain:}
Je ne sais même plus où tu es
Ni ce que tu deviens
Mais ça n'a pas vraiment grande importance
Nos pas se perdent dans la ville
Vers de nouveaux chemins
Qui ne se croisent que par coups de chance, de chance
Il se fait tard, je pense à toi
Si on rentrait, je pense à toi
Je n'étais pas très drôle ce soir,
J'ai pensé à toi
On fait l'amour, je pense à toi
Au petit jour, je pense à toi
Je ne dors pas, je pense à toi
{au Refrain}
La nuit s'achève, je pense à toi
Même quand je veille, je pense à toi
Je fume une autre cigarette, je pense à toi
Le jour se lève, je pense à toi
Les yeux mi-clos, je pense à toi
Je ne dors plus, je pense à toi
même aux enterrements très tristes, les oiseaux des cimetières chantent toujours....
(jr)
Pour les 17 ans de ma Lulu !
17 ans
Et les yeux pleins d'étoiles
Brillantes les jours heureux
Plus sombres quand il pleut
A l'intérieur
17 ans
Et une route
Devant toi
Longue, brillante, ensoleillée, sans fin peut être
Que tu prendras avec celui
Qui saura t'aimer
17 ans
Et les questions
Répétées cent fois
Sans réponse, ou avec des réponses
Dont on est jamais vraiment sûr
Qu'elles soient
Les bonnes
17 ans
Envie de rire
Envie de pleurer
Et parfois les deux
A la fois
17 ans
Et les autres qui font
Ce que tu ne peux pas faire
Ou qui ne font pas
Ce que tu voudrais faire
17 ans
Et les copines qui disent que...
Et les copains qui croient que...
Et ceux qui voudraient bien ce que tu ne veux pas
Et ceux qui ne veulent pas ce que tu voudrais bien
17 ans
Et ce sourire
Qui en dit long
Sans le dire tout à fait... au cas où !
17 ans
Et le cœur qui saigne
Parfois
Le soir dans ton lit
Quand les doutes de la vie
S'installent malgré toi
17 ans enfin
Et cette envie de vivre
Qui te dévore et qui te mène sur le chemin
Qui s'appelle peut être
Qui sait
...
Le bonheur...
Merci beaucoup pour ce magnifique poème mon jr!!^^
bisous!!
Je rajoute au passage une petite citation:
La vie est une succession de paragraphes qui finissent tous par un point d'interrogation !!
Charlélie Couture
Petit garçon
by Graeme Allwright
Album: Le jour de clarté
Dans son manteau rouge et blanc
Sur un traîneau porté par le vent
Il descendra par la cheminée
Petit garçon, il est l'heure d'aller se coucher
Tes yeux se voilent
Ecoute les étoiles
Tout est calme, reposé
Entends-tu les clochettes tintinnabuler ?
Et demain matin petit garçon
Tu trouveras dans tes chaussons
Tous les jouets dont tu as rêvé
Petit garçon il est l'heure d'aller se coucher
Tes yeux se voilent
Ecoute les étoiles
Tout est calme, reposé
Entends-tu les clochettes tintinnabuler ?
Et demain matin petit garçon
Tu trouveras dans tes chaussons
Tous les jouets dont tu as rêvé
Petit garçon il est l'heure d'aller se coucher...
Si l'homme n'avait pas crée la justice, il n'y aurait pas eut d'injustice...
TimMcGee.
decouvrez mon chanteur preferé !!!!
une traduction suit !
bon la voix déprime un peu mais c'est superbe !
(un autre texte sur "les sagas"-proust
"chelsea hotel": la plus belle ! )
The Stranger Song
It's true that all the men you knew were dealers
who said they were through with dealing
Every time you gave them shelter
I know that kind of man
It's hard to hold the hand of anyone
who is reaching for the sky just to surrender.
And then sweeping up the jokers that he left behind
you find he did not leave you very much
not even laughter
Like any dealer he was watching for the card
that is so high and wild
he'll never need to deal another
He was just some Joseph looking for a manger
He was just some Joseph looking for a manger.
And then leaning on your window sill
he'll say one day you caused his will
to weaken with your love and warmth and shelter
And then taking from his wallet
an old schedule of trains, he'll say
I told you when I came I was a stranger
I told you when I came I was a stranger.
But now another stranger seems to want you to ignore his dreams
as though they were the burden of some other
O you've seen that man before
his golden arm dispatching cards
but now it's rusted from the elbow to the finger
And he wants to trade the game he plays for shelter
Yes he wants to trade the game he knows for shelter.
You hate to watch another tired man
lay down his hand
like he was giving up the holy game of poker
And while he talks his dreams to sleep
you notice there's a highway
that is curling up like smoke above his shoulder
It's curling up like smoke above his shoulder.
You tell him to come in sit down
but something makes you turn around
The door is open you can't close you shelter
You try the handle of the road
It opens do not be afraid
It's you my love, you who are the stranger
It is you my love, you who are the stranger.
Well, I've been waiting, I was sure
we'd meet between the trains we're waiting for
I think it's time to board another
Please understand, I never had a secret chart
to get me to the heart of this
or any other matter
Well he talks like this
you don't know what he's after
When he speaks like this,
you don't know what he's after.
Let's meet tomorrow if you chose
upon the shore, beneath the bridge
that they are building on some endless river
Then he leaves the platform
for the sleeping car that's warm
You realize, he's only advertising one more shelter
And it comes to you, he never was a stranger
And you say ok the bridge or someplace later.
And then sweeping up the jokers
that he left behind
you find he did not leave you very much
not even laughter
Like any dealer he was watching for the card
that is so high and wild
he'll never need to deal another
He was just some Joseph looking for a manger
He was just some Joseph looking for a manger.
And leaning on your window sill
he'll say one day you caused his will
to weaken with your love and warmth and shelter
And then taking from his wallet
an old schedule of trains
he'll say I told you when I came I was a stranger
I told you when I came I was a stranger.
Adaptation française de Graeme Allwright :
L'Etranger
Tous les hommes que tu as connus
Te disaient qu'ils ne voulaient plus
Donner les cartes pris comme dans un piège.
C'est dur de retenir la main d'un
Homme qui cherche plus loin,
Qui veut atteindre le Ciel pour se livrer.
Et qui veut atteindre le Ciel pour se livrer.
Puis, ramassant les cartes
Qui sont restées là sur la table,
Tu sais qu'il t'a laissé très peu, pas même son rire.
Comme tous les joueurs, il cherchait la carte
Qui est si délirante,
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre.
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre.
Un jour, penché à ta fenêtre,
Il te dira qu'il veut renaître,
Au monde que ta tendresse lui cache.
Puis, sortant de son portefeuille
Un vieil horaire de train,
Il dit "Je t'avais prévenu, je suis étranger".
"Je t'avais prévenu, je suis étranger".
Maintenant, un autre étranger
Semble vouloir que tu ignores ses rêves,
Comme s'ils étaient le fardeau de quelqu'un d'autre.
Tu as vu cet homme déjà
Donner les cartes avec son bras en or,
Et maintenant, tu vois, sa main est figée.
Oui, maintenant, tu vois sa main est figée.
Mais tu n'aimes pas regarder
Un autre homme fatigué
Déposer toutes ses cartes comme une défaite.
Tandis qu'il rêve jusqu'au sommeil,
Dans l'ombre, tu vois comme une fumée,
Une route qui monte derrière sa tête.
Une route qui monte derrière sa tête.
Tu lui dit d'entrer et de s'asseoir,
Mais, en te retournant, tu vois
Que la porte de ta chambre reste ouverte.
Et, quand tu prend sa main,
Il dit "N'ai pas peur, ma tendre amie
Ce n'est plus moi, ô mon amour, l'étranger".
"Ce n'est plus moi, ô mon amour, l'étranger".
J'ai attendu, toujours certain
De te revoir entre les trains.
Bientôt, il va falloir en prendre un autre.
Oh, je n'ai jamais eu, tu sais,
Pas le moindre plan secret,
Ni personne pour me conduire.
Et tu te demandes ce qu'il cherche à dire.
Oui, tu te demandes ce qu'il veut dire.
En bas, au bord du fleuve, demain,
Je t'attendrai, si tu veut bien,
Là, tout prés du pont qu'ils construisent.
Puis, il quitte le quai pou un wagon-lit.
Tu sais qu'il cherche un autre abri,
Qu'il n'avait jamais été un étranger.
Qu'il n'avait jamais été un étranger.
Et tu dis "D'accord, le pont
Ou bien ailleurs, je viendrai".
Puis, ramassant les cartes
Qui sont restées là sur la table,
Tu sais qu'il t'a laissé très peu, pas même son rire.
Comme tous les joueurs, il cherchait la carte
Qui est si délirante,
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre.
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre.
Un jour, penché à ta fenêtre,
Il te dira qu'il veut renaître,
Au monde que ta tendresse lui cache.
Et, sortant de son portefeuille
Un vieil horaire de train,
Il dit "Je t'avais prévenu, je suis étranger".
"Je t'avais prévenu, je suis étranger".
...
La vie, c'est comme un voyage : Ce qui importe, ce n'est pas la destination, mais il faut savoir profiter du paysage tant qu'on est là.
TimMcGee.
Avant, je vivais dans l'obcurité,
Seules quelques étoiles dans le noir brillaient.
Puis, tu es arrivé, tel un soleil dans l'imensité,
Ta lumière à éclairée mes pensées.
S'il te vennait un jour à disparaitre,
Tu emporterais avec toi tout mon être.
Car mes yeux de ta lumière éblouis,
Ne pouront songer à l'oublie.
Je t'aime à la folie,
ne m'abandonne pas,
Car sans toi,
Je n'ai plus de sens à ma vie.
dedié à personne !
Il est là
Etendu les yeux fixés au plafond
Immobile
Juste ces chiffres rouges que le réveil projette
Le temps importe peu
Dido le berce elle chante doucement
Qu'est-ce-qu'il fout là à cette heure
Seul
Peut-être pleut-il dehors peut-être non
Il s'en fout
Rien n'a plus d ' importance au fond
Dormir serait bien Rêver d'elle
Il sourit vaguement
Elle est si loin et pourtant si près
Autrefois il avait des larmes il les a perdues
Ou jetées
"il y a une chance pour les mauvais souvenirs" disait l'Autre
Possible...
La mémoire fait mal l'imagination encore plus
Elle est peut-être dans d'autres bras
Ou pas
Dormir s'il vous plait Ne pas se réveiller
Une solution
On choisit pas
Parfois
Si
Bouteilles au sol c'est quoi déjà non pas d'alcool trop facile
Il se torture lui même çà le ferait presque rire
Il a mal
Ou il joue à avoir mal
C'est pareil au fond
Le cd s'arrête même Dido le lâche
Une clope il fume pas enfin plus enfin on s'en fout
Silence de la nuit
Il pleurera un autre soir si les larmes reviennent
Elle disait Qu'importe ce qu'elle disait
Demain elle dira autre chose
Il se met en boule
Se recroqueville
Il va dormir peut être
Enfin
Demain
Qui sait
Il pleuvra du soleil.
Imagine un monde à part,
Où tu vas quand tu as le cafard.
Oublies te peurs et tes pleurs,
Il n'y a que joie et bonheur.
Un petit monde enfantin
Quelque part dans le lointain.
Pour échapper au monde réel,
Tu te munis d'une paire d'ailes.
Soudain, tu es embarqué
Dans un comte de fées.
Je t'offre mon paradis
Nous serons deux
Dans ce pays merveilleux
Où je suis parti
De nombreuses fois
Malheureusement sans toi.
Maintenant que je te connais
Que tu m'as offert ton coeur
Ta chaleur et ta douceur,
Tu vas m'accompagner,
Là où avant toi,
Personne n'est jamais allé.
Car cet endroit
Est très secret.
On l'a tous en soi
Dans un coin de notre tête
Et toute la vie on croit
Qu'on est les seuls à le connaître.
Je t'offre mon paradis
Et tendrement, tu me souris.
TimMcGee.
Un jour, dans le ciel, je m'envolerais,
Pour toujours rester à tes cotés
Car c'est certain, je le sais
Tu es bien loin de moi, de mes pensées
Et le seul moyen de te retrouver
Est d'aller vers toi et tout abandonner.
L'inconnue ne me fait pas peur,
Me rapproche de toi et du bonheur
Tout n'est qu'une question d'heures
Pour que je vive dans ton cœur.
TimMcGee.
Un adieu,
Ca y ressemblait.
Tu semblais heureux,
Je me suis trompé.
Je t'ai donné mon cœur,
Mais pas mon bonheur.
Je l'aurais fais,
Si tu me l'avais demandé.
Je suis seule maintenant,
Et il me vint à regretter,
Ces moment où tendrement,
Tu me caressais.
Allongée sur mon lit,
Je sais que c'est fini.
Le souvenir m'envahit...
Un instant de joie,
Où tu m'as souris.
Je ne t'oublierais pas.
Tu n'es plus là.
Ma blessure se refermera,
Tu es heureux sans moi,
Ca ne me suffit pas.
Une larme coule et tombe,
Sur un avenir sombre.
En emportant avec elle,
Ton regard éternel.
Je m'enfouis dans les draps,
Eteins la lumière, d'un geste du doigt.
Tout me revient dans le noir,
Chaque instant avec toi,
Ton regard, ton souffle, ta voix,
Mais maintenant, il est trop tard.
J'ai envi de hurler,
Courir te retrouver.
Mes larmes ruissèlent sur mon visage,
Le temps d'un souvenir sur la plage.
Tu étais là,
Si près de moi...
Je veux me laisser mourir.
A quoi bon continuer de vivre ?
Et pourtant, je le sais,
Demain je me lèverais
Ferais s'emblant d'exister,
Et après je rentrerais,
M'enfermerais dans le noir,
Pour pleurer comme tous les soirs.
Ton absence, ne plus te voir,
Et te garder en mémoire.
Partagée entre le désir de t'oublier,
Et me souvenir pour l'éternité.
Le sommeil m'emporte enfin,
M'emmenant très loin.
Tout est fini,
Du moins pour le moment.
Je ne veux pas penser à l'oublis,
Et pourtant...
Très beau poème!
"La citation du jour sur l'agenda de Kerry.. Un seul être vous manque et tout est dépeuplé .. (Lamartine)"
on la retrouve aussi dans d'autre série
Ma classe est cette année, assez étrange et déplorable... Ainsi pour prouver leur idiotie commune, ils disent parfois quelques répliques assez marrantes...
Prof : Tu n'aurais pas du lui recopier ses exercices !
Elève : Ce n'est pas ce que j'ai fait !
Prof : Tu fous pas de moi c'est la même écriture !
Elève : D'acord, mais c''est juste parce que je lui ai prêté mon stylo !
--
Profs : Vous avez copié l'une sur l'autre.
Elèves : Non, on a juste fait le controle ensemble !
Je ne manquerais pas de repasser si d'autres arrivent !
heureusement pour vous plus tôt que prévu !
Aujourd'hui Kerry pense que ses camarade de classe ont quelques problème en orthographe.
Cours d'Hitoire, la révolution française.
Elève : Madame comment on écrit "Bonaparte" ?
Prof : B.O.N.A.P.A.R.T.E.
Elève : D'accord.
Autre Elève derrière elle : Ah merde moi je l'avais écrit comme ça "Bon appart' "...
t'as pas l'air de t'ennuier en classe sa va !! tu me diras moi non plus !! J'ai prof il me fais trop rire il dit des trucs trop bizzare !
Un coup il nous a fais un truc trop drôle :
Le prof : On remplace x par 1/2, on remplace x par 1/2, par 1/2 ... oula sa résonne ici ... 1/2 ? 1/2 ?
c'était trop marrant ! Ou alors un autre coup l'alarme incendit à sonné et il a dit : attender bouger pas ! Ques qu'il faut faire ? c'est par ou le chemin le plus court ?
enfin que des trucs comme sa !
je vous en redirait aussi peut-être d'autre à l'occasion ^^
Je savais pas trop où j'allais, mais il était évident que j'y allais... la voiture semblait connaître le chemin toute seule.
Un vieux CD plus ou moins pourri jouait la même musique désespérante depuis le début du voyage, mais je m'en foutais : je n'entendais même plus...
Il me semblait même être resté en cinquième depuis que j'avais quitté ma maison avec elle sur le perron qui me disait même pas au revoir, puisque, quand c'est fini, c'est fini. A vrai dire ça m'arrangerait un peu, je supportais plus rien chez elle, et ça tombait bien, elle supportait plus rien chez moi...
Oui ça m'arrangeait... l'autre, celle qui m'aimait depuis des années m'attendait quelque part, justement là où la voiture se dirigeait. Il ne pleuvait même pas (dans ces cas là, il pleut toujours pourtant), il y avait même un super soleil, ce qui fait qu'avec mes Rayban de contrebande, je ressemblais à James Bond qui aurait beaucoup vieilli...
Par terre, la bouteille de gin se cognait régulièrement au plancher, selon le rythme de la route, si tant est qu'une route puisse avoir un rythme. De toute façon, la bouteille était vide, si j'avais été contrôlé là, on me retirait illico le permis que je n'avais plus depuis belle lurette... Bon ok j'avais mis la ceinture, mais uniquement pour que la bagnole cesse de piailler toutes les dix secondes -comme faisait du reste celle que je venais de quitter faisait régulièrement depuis quelques siècles, comme quoi ça peut paraître très long...-
J'arrivai sur la corniche et me garai face à l'océan. Un coup d'accélérateur et j'allais m'écraser cent mètres plus bas, je risquais quand même de me faire un peu mal... mais ce sont des tentations qu'on a parfois comme ça...
Au bout d'un moment, elle est arrivée, jeune, belle, mince, élancée : la totale... le rétro me rendait mon image : vieux, moche, gros et tassé... la belle et la bête, le remake...
Mais bon quand elle s'est pointée, elle s'est jetée dans mes bras, me laissant à peine descendre de voiture, ce genre de détails physiques s'est effacé... au moins pour quelques heures...
On est montés dans la voiture et là, normalement, dans tous les textes de JR, le mec se plante et avance au lieu de reculer... là pas de bol, j'ai passé la marche arrière et on est partis vers de nouvelles aventures, de nouveaux je t'aime, et de nouvelles sensations... comme quoi vous croyez que c'est fini... ben non ça recommence...
Je crois que ça s'appelle la vie.
désolé pour la personne qui a dit sa (une fille de ma classe dont je tairais le nom!) mais la je suis obligé de raconter sa !!
on parlais et elle me dit qu'un copain a eu des insolations et la elle me dit : "je sais même pas ce que c'est !"
et encore pire : une copine qui dit qu'elle veut se faire tatoué une colombe et elle lui dit : "c'est quoi une colombe ?"
bref...
En technologie, déjà notre prof nous parle de la différence entre le gruyère et L'emmental ensuite, il nous dit qu'il faut prononcer ce dernier avec l'accent de la Savoie.
Déjà, il est fou. S'il me reconnait et qu'il passe sur ce quartier, je serais très contente (une personne de plus) ! xD
Ensuite, il nous demande où est la Savoie.
Deux gars alors se lèvent et dessine avec beaucoup de talents... la carte de France.
L'un des gars -l'autre ayant été recalé pour ses talents- dessine un bosse au nord, censé représenter la Basse-Normandie.
Et là... une fille juste à côté de moi s'exclame fièrement et sûre d'elle :
- Ça, c'est la Corse !
Regard avec le prof qui veut bien dire " Elle est vraiment conne celle-là !" et nous rigolons à cette idiotie pas possible...
La carte finie, il nous montre la Savoie et aussi... la Corse !
Si cette fille se montre ici, elle sera clairement ce que je pense d'elle et ce sera tant mieux ! ^^